Blessures de l'enfance :
Réparation de blessure d’injustice, et système de défense associée.

En visioconférence et en direct.

Tout le monde est concerné par cette fêlure créée par les situations d’injustice survenues dans l’enfance. L’ego s’est construit avec cela.

Il y a les vraies blessures visibles, apparentes, vécues consciemment, et qui marquent :

Être puni à la place d’un autre. Avoir une note moyenne ou médiocre alors qu’un autre enfant qui a copié sur nous a une meilleure note.

Vivre la souffrance qu’un autre, que l’on juge médiocre, reçoive tous les honneurs alors que nous avons fait plus, et mieux.

Vivre la blessure que les parents, famille, instits, entourage, font 2 poids 2 mesures, en fonction de qui ils préfèrent et non en fonction du mérite.

La liste est longue et chacun peut y ajouter des propres mésaventures.

Et puis il y a une blessure d’injustice plus subtile, même pour ceux qui n’ont jamais vécu de situations d’injustice réelle.
Cette blessure est plus intime, plus profonde, plus masquée.
C’est celle du petit enfant libre, authentique, spontané, qui va devoir apprendre à ses dépens, qu’il ne peut pas rester spontané, confiant, dans l’immédiateté absolue de son vécu corporel et émotionnel.

Non pas qu'apprendre à différer, ou respecter l’espace individuel des autres, ou tout autre apprentissage ou socialisation, le mutile, le coupe de soi.

La mutilation de soi, du contact profond à la source de l’être, advient par imitation de la coupure qu’il perçoit, qu’il ressent avec douleur, chez les adultes autour.

Coupure qu’il va établir, pour à son tour devenir une sorte d’adulte plein de blessures et de fêlures et de bleus à l’âme, dont le premier est d’avoir dû abdiquer à soi.

C’est donc l’éducation qui n’est pas ELEVATION, qui mutile la conscience d’être relié aux autres, au tout, à SOI.

La blessure d’injustice est liée au fait d’avoir dû abdiquer à cet amour innocent, confiant.

Cette blessure secrète, ainsi vécue par l’enfant, crée une fermeture dans le cœur émotionnel, une peur d’être blessé à nouveau si l’on redevient enfantin, confiant. Donc, il en résulte, tout un tas de défenses, qui se chevauchent, à différents degrés. Cela peut être une apparente froideur, de la distance, une écoute de la raison et non du cœur qui rend calculateur, intéressé, opportuniste. Aucune importance, nous sommes tous ainsi, peu ou prou, à raisonner, définir clairement ce qu’une relation peut nous apporter ou nous couter.

Cela devient problématique lorsqu’on le fait en évitant le plus possible les affects, par peur des effusions, de l’attachement et de tout un tas d’émotions que l’être secrètement blessé ne sait plus vivre spontanément, et les gérer sans souffrir. Il peut s’en suivre, rigidité, déni, évitement, refoulement, fermeture. Et le pire, c’est que parfois, ce n’est même plus conscientisé. C’est enfui dans les profondeurs, avec un gros couvercle en fonte.

Cela se nomme DENI.

Cette attitude de déni est le propre de l’humanité, elle est la fondation sombre de chaque personnalité, aussi bonne et aimante soit elle. Et peut-être plus encore chez les bonnes âmes, chez lesquelles le refoulé n’a pas encore fait place à la sublimation.

Il s’agira durant ces 2 soirées, d’ouvrir le couvercle en fonte, de vider la poubelle, et de renouer avec cette part de nous, enfantine, spontanée, joyeuse, joueuse, confiante.
C’est là, au fond, caché, étouffé comme un guignol à ressort, qui ne demande qu’à jaillir des profondeurs.

Préparez vos mouchoirs pour vider la poubelle et vos corbeilles de rire pour la fin des séances.

Les ateliers durent 1 h 30 entre 21 h et 22 h 30.

Les mardis 7 et 21 juillet.

Ateliers de formations ouvert Ă  tout le monde.

Vous avez juste besoin d’une simple connexion internet.

Chaque atelier de 1h30 est à 37,50 euros soit 69 euros seulement la formation complète.

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